Un hôtel. Et tout autour, laNature.

Ici, le bonheur a pris l’apparence d’archipels qui s’égrènent au sud de Bonifacio et qui portent des noms chimériques : Lavezzi, Cerbicale, Bruzzi, Moines.

Il est blanc comme le calcaire des falaises, bleu comme ciel de Corse, multicolore comme un maquis de printemps.

Il est iodé comme la Méditerranée, parfumé comme le silène velouté ou le barbe de Jupiter.

Tantôt chaotique comme le granit montagneux, tantôt apaisant comme les étangs de Ventilègne.

On y plonge parmi les herbiers de posidonies à la recherche de la patelle géante, de la grande nacre, de la gorgone ou du mérou.

On fend ses cieux avec le Cormoran huppé et le Puffin cendré. On s’y promène aussi…

Oui, Bonifacio est le point de départ de magnifiques escapades pédestres.

On y chemine entre passé et présent, entre mer et maquis.

Au cœur de la ville, on descend les escaliers du Roi d’Aragon.

On s‘interroge sur ce fameux « Gouvernail ».

Puis on s’éloigne pour suivre le sentier Strada Vecchia, sur les traces des celles et ceux qui, au cours des siècles précédents, ont foulé ses pavés.

Le sentier Campu Rumanilu (champs du romarin) permet de découvrir la flore du plateau bonifacien dominant les falaises.

Et puis il y a les sentes qui mènent à Santa Manza ou à Balistra.  Et pendant tout ce temps, on respire, on vit au rythme de la nature.